Le coréanologue Marc Orange recevra le prix culturel Sejong

SEOUL, 09 mai (Yonhap) — Marc Orange, chercheur français retraité du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et coréanologue réputé, recevra cette année, dans la catégorie culture coréenne, le prix culturel Sejong (Sejong Munhwasang), a annoncé ce jeudi le ministère de la Culture, du Sport et du Tourisme.

Très connu dans le milieu universitaire en Corée et en France, Orange a été ingénieur de recherche au CNRS et chargé de cours aux universités Paris VII et Paris X. Il a aussi été directeur de l’Institut d’études coréennes du Collège de France de 1992 à 2002 et président de l’Association française pour l’étude de la Corée (AFPEC) entre 1995 et 2001.
 
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TVREZÉ #ITW1

Première intervention de notre partenaire média, la webTV TVREZÉ, avec cette ITW par Walter Bonomo de Mee Ra Baudez, la présidente de l’asso Printemps Coréen, pour annoncer le compte à rebours du début des festivités !!!
L’interview s’est déroulé à Trentemoult, dans le jardin merveilleux de G&A.

E’Joung-Ju – Grenoble le 14 Avril

DIMANCHE 14 AVRIL de 10h30 à 17h – Musée Dauphinois – Grenoble

Une traversée imaginaire dans l’univers des femmes chamanes coréennes
A partir de l’installation « Sept Etoiles », de Marie-Helène Bernard, E’Joung-Ju, musicienne joueuse de geomoungo, instrument traditionnel coréen à cordes ayant une histoire de plus de 1500 ans, nous propose une traversée sonore et imaginaire dans l’univers des femmes chamanes coréennes, appelées mudang.

Quai Branly – 23 Février 2013

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17h47. On s’assoit en tailleur sur des coussins dans le petit amphithéâtre – gradins rouges – scène bleue. J’aperçois le Gômoungo – instrument traditionnel coréen en bois à 6 cordes et aux frets surdimentionnés – et le pédalier d’effet d’E’Joung-Ju. En face les instruments électroniques, l’ordinateur gris et la guitare noire de Mathias Delplanque. Au fond de grands tissus accrochant la lumière découpent le fond de scène. A coté de moi mon voisin, la cinquantaine inconfortable sur les gradins en lino, pique deux gros coussins pour se caler le dos. Regardant mes jambes croisées, sa grosse moustache noire me dit d’un accent italien assez prononcé : Je n’être pas Japonais pour asseoir comme ça…
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